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Mensuelle de novembre 2012 : L’Ange de Doel

Catégorie : Diffusions mensuelles


Mardi 6 novembre 2012 – 20h30

au Café-Comptoir-Colette

Entrée libre

 

« La politique est davantage affaire de formes de vie que de prise de pouvoir » écrivait Eric Hazan en 2005. Passée l’hystérie électorale, nous voilà confrontés à cette épineuse question : Sur quelles bases (re)construire le contrat social, le vivre-ensemble, comment garantir à chacun-e, la liberté d’habiter comme il/elle l’entend un corps social miné par les dynamiques de prédation socio-économiques à grande échelle ? « Habiter », c’est précisément inventer des formes de vie. Filmer le réel, c’est une mise en demeure : celle de construire un espace incertain dans lequel peut se déployer une relation entre filmeurs, filmés et spectateurs. Dans le cadre de ses séances mensuelles, qui vont associer les travaux d’un atelier de programmation rassemblant une dizaine de résident-e-s de l’agglomération tourangelle, Sans Canal Fixe donne droit de cité à celles et ceux qui tentent d’habiter le monde autrement avec les « romanciers du réel » comme complices : il s’agit de « sauter dans le flou, dans le noir, dans la peur qui nous habitent (…). Affronter cinématographiquement une image de soi, une image de l’autre, au pays des grands montreurs d’ombres. » (Gérard Mordillat)

 

 

L’Ange de Doel un film de Tom Fassaert

Belgique/Pays-Bas – 2011 – 76 minutes

 

doel1La quête du progrès économique n’épargne jamais les plus faibles. La petite ville de Doel vit ses dernières années. Située à quelques kilomètres de la centrale nucléaire et de l’énorme port d’Anvers, Doel doit être rasée pour faire place à l’agrandissement de son ambitieux voisin. Alors que Doel est en train de mourir doucement, Emilienne essaie de vivre comme si rien n’avait changé. Sera-t-elle finalement obligée d’abandonner Doel elle aussi ?

 

Devant ce fait divers, le cinéaste Tom Fassaert réalise un sublime requiem en noir et blanc. Évitant tout discours politique, il raconte sobrement la lutte de ces gens ordinaires, en particulier Emilienne à la détermination indestructible. Magnifiquement filmé, hanté par la mort, le film se transforme peu à peu en poème crépusculaire inoubliable. Pour qu’Emilienne et Doel ne soient jamais oubliés.

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